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Une Lady peut en cacher une autre, le Monde de Ladylettante
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13 août 2015

Cougar Town

Et voila j'ai terminé les 6 saisons de Cougar Town.
Alors que dire de cette série ? Que malheureusement plus les saisons passent et moins c'est interressant.

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Franchement la première saison était drolissime, la deuxième un peu moins, la troisième a connu un regain et puis après la série à sombré, la 6 ème saison est clairement celle de trop...
Ce que j'ai apprecié dans les premières saison, l'humour absurde, les multiples clin d'oeil à la série Scrubs ( c'est le même mec qui a fait les deux séries ), certains persos vraiment drôles comme Ellie ou Bobby.
J'étais contente de retrouver notre "Monica" dans une autre série, mais ici elle n'est pas vraiment à son avantage, elle est stupide et alcoolo, c'est dommage.

 

Synopsis de Cougar Town

Jules Cobb est une mère récemment divorcée qui vit avec son fils, Travis, et qui a du mal à accepter le poids des années, on s'était surpris à s'attacher à ce groupe d'amis aussi bizarroïde qu'improbable. Malgré la chair bousillée de Courtney Cox, son sur-jeu et ses gestes agaçants, l'héroïne de la série avait réussi à rendre son univers  lisse attachant, en feuilletonnant ses aventures quotidiennes, axées sur la répétition et la fidélisation.

Des jeux récurrents comme Penny Can, des obsessions autour du vin, des coups bas entre amies, des soirées mimes, la thématique de Cougar Town est devenue une sorte de pacte de l'amitié . A l'aide de quelques bonnes répliques, dialogues parfois décapants, parfois bourrés d'esprit, la série a prouvé que le créateur de Scrubs en avait encore dans le stylo. Cougar Town s'est ainsi améliorée en portant au pinacle les trois femmes de la bande, Jules, Ellie et Laurie. Leur passion débonnaire pour le vin, leurs hystérie assumée, leur anti-virilité ont fait d'elles des personnages hauts en couleur, Laurie en tête, grâce au jeu très californien de Busy Phillips (Freaks and Geeks, Dawson), sa parure cliquetante de bijoux, ses moues, ses joutes verbales. Ellie qu'on aimait détester au début du show est devenue également cette tante antipathique qu'on aime par rejet, sa relation conflictuelle avec Laurie, faite de vacheries et de piques assumées est devenue un des points forts de la série.

Pour autant, la série n'a pas évolué. A la longue, ce parti-pris quotidien de la série (qui fonctionnait parfaitement chez Old Christine) a enlisé son propos, les épisodes étant à chaque fois une nouvelle facette mélodramatique sur-exploitée de certains problèmes insignifiants (la maternité, la culpabilité).

Les saisons 4,5 et 6 sont clairement de trop, pas d'intrigues interressantes, des personnages de plus en plus niais, il faut savoir s'arreter... 

 

 

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